baisé en chienne

baisé en chienne

Toutes sortes et façons de sexe disais-je dans mon profil...
Quand j'ai entrouvert la porte le cabot halletant tournait en rond au milieu de la pièce. Se léchant les lèvres, la bite en flèche, il attendait sans doute la chienne que je suis. Je me suis mis à quatre pattes et poussai la porte avec mon museau. Quand le monstre poilu m'a apperçu, il écarta largement les jambes pour libérer sa bite oscillant comme une pendule.
D'abord j'ai reniflé ses pieds et ses jambes puis j'ai enfoncé mon museau dans son entrejambe poilu; ça sentait fort mais pas déplaisant. Je commençai à lêcher son entre-cuisse en appuyant ma langue sur son anneau en sueur et brulant. Il commença à gémir. Alors, sans trop m'attarder, je me suis attaqué à la tête rouge enflée de sa verge. Quand le bout de ma langue la toucha il poussa un cri profond... J'ai attrapé le bulbe avec mes lèvres et ma bouche gourmande l'aspira. Mon baiseur était immobile... Le va-et-vient commença; Sa verge lisse chatouillait ma gorge sans trop de difficulté, elle avait farci ma bouche mais je voulais aussi avaler les noisettes toutes aussi lisses.
Mon cabot était un peu crispé; voulait-il retirer sa queue? je ne lui permettrais jamais de confisquer mon jouet. Alors j'ai attaqué par derrière. J'utilisais ma langue pour caresser le contour de son trou rose. Ma succion l'avait mouillé. Maintenant sa verge glissait sur ma langue vers ma gorge alors que sa langue lêchait mon corps. Le rythme y était mais pas complet.
Je lui tournai le cul et commençai à me frotter contre ses jambes. Lui aussi sur ses quatre pattes, nous commençames comme de vrais chiens; son museau dans ma boi-chatte et le mien reniflant et aspirant sa verge, maintenant rigide comme un fer de lance. Je lui lêchais aussi le visage, mordait ses oreilles. Ma langue dançait avec la sienne longue et charnue. Soudain j'ai bondi comme une chienne en chaleur et me dirigeai vers son derrière pour coller mes fesses contre les siennes... il a compris: il a replongé son museau dans ma boi-chatte et l'a mouillé avec sa salive. Ensuite il se redressa et mît ses membres sur mon dos. Il appuyait son devant sur mes hanches et la tête de sa tige cherchait ma caverne où s'engouffrer. Il se frottait contre ma raie du cul, incappable d'y pénetrer...